Coach ou pas coach ?

Fin de coaching ce matin pour un client un peu perdu il y a encore quelques jours dans la foultitude de tâches dont il avait la charge.

La difficulté de chacun réside dans le fait de se rendre à l’évidence de ses acquis malheureusement souvent enfouis.

Un bon coach vous permet de faire réapparaître les compétences que vous ne pensiez pas avoir. Par le biais des formations diverses au fil du temps, votre savoir est immense mais parfois il vous est difficile de le faire rejaillir au goût du jour ou tout simplement d’en prendre conscience, c’est à ce moment qu’un bon coaching peut réveiller des aspects incroyables en vous !

On ne s’en sent pas capable, on n’imagine pas un instant en avoir la capacité et pourtant c’est bien là ancré au plus profond de votre mémoire mais vous ne le savez pas !

Après deux jours de travail construits et nécessitant une grande concentration, c’est chose faite aujourd’hui pour lui et je m’en réjouis.

Ce qui me donne envie d’écrire ce post en guise de récompense et de détente avant de passer à autre chose.


Mon élève m’a dit aujourd’hui :

« Ni la formation, ni le labeur de ces longues années ne m’a permit d’utiliser de façon optimum ce que j’avais appris ! Vous m’avez mené vers cette optimisation de mon quotidien que j’attendais depuis longtemps et je vous en remercie »

Rien ne peut me faire plus plaisir bien sûr !

Je ne fais rien d’autre que permettre à ceux qui en ont la compétence, d’en prendre conscience et ma plus belle réussite est le résultat obtenu ainsi que le témoignage laissé.

artisanat-compétenceLe plus intéressant dans cette perception que j’ai, du savoir, c’est qu’il se passe la même chose dans le domaine sportif, on évoque souvent le mental, la concentration, l’oubli de la douleur et bien d’autres choses ! Il est primordial à mon sens de se focaliser sur ce que l’on connaît le mieux, c’est-à-dire soi-même.

Si on n’y parvient pas seul, alors il suffit parfois d’en discuter pour se rendre à l’évidence de ce que l’on imaginait même pas jusqu’alors !

Les gens souvent consacrent du temps à juger les autres, à se comparer aux autres, à jalouser comme à vénérer, le tout dans l’excès ! Alors que la solution reste à mon avis l’analyse juste de ce que l’on souhaite faire de son temps, de son espace, de sa vie.


Courrier reçu !

Au milieu de ces cours que je donne tant au niveau de l’entreprise que du sport, je reçois des correspondances parfois émouvantes comme celle reçu ce matin, d’une personne qui exprimait l’envie d’oublier le mal subit auparavant, pour résumer en de jolies phrases les bonnes choses arrivées depuis ces passages difficiles enfin estompés dans son esprit !

Le partage s’est fait naturellement, je savais que le résultat n’était pas loin pour elle et propice à de nouveaux engouements pour le futur, je lui avais dit d’y croire toujours et d’être patiente, elle est enfin récompensée de son courage et de sa perspicacité et je suis fier que sa première envie ait été de partager ses résultats avec moi pour ma plus grande satisfaction et ma plus grande joie.

Ayez toujours confiance, ne vous laissez pas (plus) abattre par votre entourage négatif ou vos proches qui ne croient pas en vous, concentrez-vous sur vos actes et rendez votre futur possible sans vous poser la question de savoir si vous réussirez ou pas avant même d’avoir essayé !

J’ai créé mon blog www.spirit.fr pour communiquer ma manière de vivre à ceux qui veulent bien la partager et pour transmettre aux autres mes acquis sans compter, je commence à organiser mon temps pour pouvoir répondre à chacun et ça ne m’empêche pas d’affronter le quotidien comme tout le monde en prenant des nouvelles responsabilités, en travaillant encore plus fort mais en prenant toujours plus de plaisir aussi.


Conclusion…

« Chaque fois je vous remercie tous, quel que soit le moment de l’année ou de votre vie, où vous avez su m’apporter votre soutien et me transmettre votre amour, j’ai ces moments précieux dans le cœur et dans la tête et c’est le plus beau cadeau que vous m’ayez fait, la plus belle reconnaissance de mon bonheur de vivre.

Bonne journée à tous, le soleil se découvre enfin, je vous envoie avec force celui qui me chauffe à l’instant où j’écris ces mots… à mes fils… » David

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Citation…

« Tu vaudras aux yeux des autres ce que tu vaudras à tes yeux… » Proverbe latin !

« Tu ne fais pas toujours ce que j’attends de toi, mais je me délecte de ce que tu fais chaque fois que je ne m’y attends pas ! » David Mesmacque (c) 2015


LE FROID, AMI ou ENNEMI ?

La préparation au froid a toujours interpellé les individus à travers les âges !

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un monde à partJe me souviens de mes entrées en matière lors des compétitions de snowboard pendant les Derbys, où à plus de 3800 mètres d’altitude et souvent sous un vent violent, je parvenais à rester « Zen » et détendu.

A ce moment là en effet, je prenais le dessus indéniablement sur une majorité de compétiteurs transit par le froid ou encore trop couvert et donc gênés par leur équipement.

En ce qui concerne les autres activités, courir par -6° nécessite une petite protection pour le visage tout au plus car la gêne physiologique vous ferait arrêter plus vite votre entrainement. Mais la pratique des arts martiaux ou de la course à pied n’est pas freinée par la température extérieure si vous vous préparez bien.

Cette préparation est la même en ce qui me concerne, pour l’apnée, en voici quelques détails après un bref rappel médical 🙂

L’hypothermie est un phénomène observé chez un individu dont la température corporelle survient accidentellement au-dessous de 35°C. C’est alors que le processus commence et que le métabolisme ralentit. Le débit et fréquence cardiaques (ce que je vais évoquer après, sont les aspects positifs pour notre activité sportive), ensuite vient la baisse de l’activité cérébrale, la perte des défenses immunitaires et au dernier degré, la coagulation devient impossible. Au-dessous de 32°C, commence la phase appelée «hypothermie modérée» et se conclut par l’endormissement. Il est rare de survivre à une hypothermie inférieure à 18°C, ça a déjà été constaté, le fait est que le froid conserve, c’est le taux d’ions potassium qui détermine si l’individu peut-être sauvé ou pas.

Le froid a une action très positive, explique le professeur « Mauro Oddo » dont les études et les réflexions m’ont toujours intéressé : il rappelle ainsi son pouvoir antalgique. Chacun l’a expérimenté, le froid anesthésie les tissus et calme les brûlures et les douleurs. Mais c’est aussi un très bon anti-inflammatoire, qui permet de réduire les œdèmes et de diminuer les inflammations causées par une poussée d’arthrite ou par des traumatismes (entorse ou une dent arrachée), par exemple. L’application de glace sur la peau, non sans un linge pour la protéger, est d’ailleurs la première mesure à prendre en cas d’entorse, de déchirures musculaires et ligamentaires.

Enfin le froid préserve les organes et surtout le cerveau en cas d’arrêt cardiaque.

Depuis notre plus jeune âge, nous recevons l’éducation par notre entourage de la différence entre chaud et froid ! Tout nous laisse croire au risque d’être mal, d’attraper du mal ou encore de nous faire mal ! Combien de parents vous laissent sortir sans se soucier des mauvais effets du froid ? Et nous transmettons à notre cerveau cet enseignement de chaque instant.

«Celui qui s’est brûlé en mangeant trop chaud, souffle même sur un morceau froid»

Pour ma part, très jeune j’ai eu à « combattre » le froid et la solution était loin du réconfort d’un bon feu de cheminée ! J’ai donc pris l’habitude d’interpréter le froid et d’en faire un allier.

Tout commence par la préparation mentale, ne pas se laisser entrainer dans l’idée de souffrance à un quelconque niveau que ce soit.

Lao She disait : « Quand le cœur est chaud, on n’a pas froid au corps. »

-27°, une descente tôt le matin au point culminant de Grande Motte...3853m !
-27°, une descente tôt le matin au point culminant de Grande Motte…3853m !

L’exemple de l’accident en montagne me vient à l’esprit : la mort par hypothermie effraie, bouleverse et interroge. Que se passe-t-il physiologiquement lorsque le froid est si intense qu’il nous fait perdre la vie?

Le Dr Mauro Oddo, spécialiste des questions de régulation et de modulation thermique chez l’homme l’explique:

« L’exposition prolongée à de très basses températures provoque un stress à la fois métabolique et psychologique important. Le corps lutte contre la sensation de froid, tandis que la victime angoisse à l’idée de ne pas être secourue et de mourir». En raison de cette phase de stress intense, la mort par hypothermie ne saurait être qualifiée de douce ou de paisible, même si la victime, de moins en moins réactive, s’endort progressivement ! Pour lutter contre le froid, le corps active en premier lieu ses défenses thermorégulatrices: frissons, chair de poule, dents qui claquent, augmentation de la pression artérielle, des fréquences cardiaques (dans ce cas précisément) et respiratoires et vasoconstriction (le sang est envoyé vers le cœur pour préserver les organes vitaux), expliquant les extrémités froides, pâles, voire bleutées. Les défenses thermorégulatrices, notamment les frissons, augmentent le métabolisme de manière importante, entraînant une grande fatigue et un épuisement progressif. La capacité de l’organisme à retarder l’entrée dans un état d’hypothermie modéré ou avancé, autrement dit la résistance au froid, dépend essentiellement des conditions du milieu (altitude, humidité, eau froide, température, vent, possibilité de s’abriter, de se mouvoir, etc.) et des ressources personnelles (l’état de santé, la condition physique, la présence de lésions associées comme des fractures par exemple, l’âge, etc.). «Les personnes âgées, les malades chroniques, celles qui sont intoxiquées à des médicaments, qui abusent de l’alcool ou de drogues sont beaucoup moins en mesure de déployer ces réponses et vont souffrir plus rapidement du froid»

Une citation que j’aime beaucoup de Arnaud Desjardins et qui résume bien ma façon d’aborder le froid :

« Un homme est d’accord pour souffrir du froid s’il veut explorer le pôle Nord. »

On est loin de ce cas de figure extrême et je ne vais pas énumérer le nombre incalculable de situation en apnée où il peut paraître désagréable de combattre le froid, mais chaque situation a ses avantages et il faut savoir en profiter.

Quand j’attends sur un bateau ou que je le pilote lors de longs trajets en mer, je m’installe confortablement et bien que ma responsabilité engagée me maintienne en éveil attentif à mon environnement, je commence toujours à me concentrer sur l’évènement que je prépare.

Quand je dois m’apprêter face à l’océan par une température inconfortable, je prends mon temps et je me concentre sur le plaisir que je vais prendre, en aucun cas sur une difficulté quelconque à affronter le froid ! Quand il s’agit d’enfiler la combinaison à l’eau ou au savon, j’apprécie le contact de l’eau glacée sur ma peau et j’imagine le bonheur d’être quelques secondes plus tard « protégé » par ma belle et chaude combinaison 🙂

La difficulté se rencontre quand l’inverse se produit, si vous vous dépêchez d’enfiler votre combinaison en vous focalisant sur l’eau glacée, vous en souffrirez et il vous faudra beaucoup plus de temps pour entrer en matière, parfois même vous rebrousserez chemin sans succès et subissant la frustration de l’échec personnel.

« Il fait froid, parce que l’on regarde là où il n’y a pas de chaleur. »

Une vie impressionnante, qui m'a toujours passionné et que je partage avec vous aujourd'hui...
Une vie impressionnante, qui m’a toujours passionné et que je partage avec vous aujourd’hui…

Alexandra David-Néel

C’est aussi cette partie en moi qui m’aide dans ce cas de figure, quand je prévois de faire une séance d’apnée, j’éprouve toujours du plaisir et de la satisfaction, je ne me souviens pas d’un moment où j’aurai pu pratiquer mon sport préféré sans y prendre plaisir.

Dans l’eau, c’est une autre partie du cerveau qui réagit, certaines expériences médicales démontrent l’adaptation du corps au froid et en particulier dans l’eau, la régulation du rythme cardiaque par exemple en fait partie. Le cerveau reçoit une information qu’il analyse immédiatement comme présentant un changement physiologique évident au niveau du corps. Se préparant à ces modifications, il envoie des informations directement au niveau de l’appareil circulatoire et démarre plus ou moins rapidement (assez vite dans mon cas pour ne pas dire instantanément) une bradycardie qui va ralentir mon rythme cardiaque.

C’est cet exemple qui est expliqué dans une des premières scènes du Grand bleue 🙂

Je suis parvenu dans mes meilleurs moment à descendre en dessous de 40 pulsations par minute. Ensuite, le corps va continuer de s’adapter et toujours commandé par ce magnifique moteur que nous avons dans la tête, va limiter la circulation périphérique pour économiser la consommation excessive d’oxygène.

Vous devez profiter de ces modifications pour en tirer avantage. Je m’entraine parfois à soumettre mon corps à ces variations de température et je regarde comment je réagis, puis quand je me retrouve dans une situation similaire mais non prévue, je suis paré et je reste à l’aise.

Posture permettant le travail sur l'énergie, chaud ou froid !
Posture permettant le travail sur l’énergie, chaud ou froid !

Dans mon ancien club d’apnée, on nous préparait souvent à utiliser une bonne combinaison pour combattre le froid accumulé pendant une séance de statique par exemple, on vous expliquait qu’il était normal que la récupération pendant les séances de dynamique, provoquait des risques de refroidissement et de baisse de performances ! Mais jamais on n’a introduit le travail mental sur cette adaptation au froid ni même donné des conseils pour le combattre ou anticiper sur son apparition.

C’est pourtant de cette manière qu’il m’a été possible de faire 5’47 » dans une eau à 12°, de faire plus de 3’ en maillot de bain dans l’eau glacée de Centerc-Parc Normandie (à 4°C !!!) et récemment plus de 7′ en fin de journée, quand la nuit tombait, dans une mer pas si chaude que ça 🙂

Alors, s’il m’est permit de partager avec vous aujourd’hui, je proposerai d’adapter votre corps au froid chaque fois que possible, à commencer par finir la douche par un rinçage bien froid, commençant par les jambes au début et très vite vous vous apercevrez que la douche froide sur le corps tout entier n’est plus un problème et même devient un plaisir.

Ensuite, finir une séance d’apnée en mer par une séance de natation comme je le fais souvent avec « ma » binôme de choc, combien de fois nous profitons du confort de notre combinaison et décidons de finir en maillot de bain en avoisinant presque les mêmes profondeurs !

Contrôler le bien-être que procure la neige qui tombe et apprécier le froid en toute circonstance...
Contrôler le bien-être que procure la neige qui tombe et apprécier le froid en toute circonstance…

Enfin, quel que soit le moment, laissez votre corps profiter des éléments extérieurs, savourez l’instant présent et laisser vous envahir par ce sentiment de bien-être total face à une cascade à la montagne, sous la neige qui tombe et qui vous caresse la peau, pataugeant dans un lac glacé ou dans la mer du nord au couché de soleil, prit par surprise à moto par la pluie et continuer de savourer de conduire votre moto sans penser aux aspects contrariant de rentrer se sécher, nettoyer sa moto etc !

Que du positif dans la tête apporte irrémédiablement du positif dans la vie, c’est valable pour la préparation au froid comme en toute chose, ce sera ma conclusion.

David Mesmacque ®

« Une carrière, c’est fantastique, mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit quand on a froid. »

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Marylin Monroe

Twittez avec moi !!!

Cet espace vous permet de suivre l’historique de mes messages sur Twitter, un réseau social qui me permettra d’annoncer les modifications sur un article existant, l’ajout d’un nouvel article, les échanges avec vous Followers 🙂 Quelques astuces à venir et un lieu de partage toujours aussi précieux à mes yeux.

Alors rejoignez-moi et n’hésitez-pas à intervenir aussi…

Pour commencer, quelques définitions :

Twitter est un outil web 2.0, social permettant de faire du micro blogging en envoyant des messages court limités à 140 caractères. …

Bien sûr, il est nécessaire de créer votre compte comme moi : @SpiritDM, choisissez un nom qui vous ressemble ou qui vous identifie bien ! Ensuite commencez à communiquer avec le monde Twitter 🙂

Le language spécifique :

hastag = #

@ est associé au nom

RT permet de renvoyer un message déjà reçu d’une personne aux autres personnes qui vous suivent. (is to send a message already received from one person to another people)

DM = direct message qui permet d’échanger uniquement avec une autre personne, comme un message privé

followers sont ceux qui veulent suivre vos posts

NSFW correspond à « not safe for work » et s’utilise quand un lien vers un site ou un lieu sur le WEB peut s’avérer à caractère pornographique, profanatoire etc.

FotD = find on the day, (trouvé dans la journée), à préciser si le sujet le nécessite…

#TT = trending Topics (super tendance)

et pour conclure #PP = photo of profil (la photo du profil)

Et bien d’autres encore qui viendront compléter cette liste 🙂 Vous pouvez aussi personnaliser cet espace comme vous le souhaitez, par exemple modifier votre fond d’image et ajouter des messages permanents comme l’exemple ci-après…

Votre dévoué,

La présence de David Mesmacque sur Twitter 🙂

9 thoughts on “Coach ou pas coach ?

  1. Waouh !
    Je viens de vous lire et je reste sous le charme de ce que vous avez écrit
    Il y a un certain nombre de gens qui nous voient toujours heureux, toujours de bonne humeur et que cela a toujours été dans notre vie .Et bien non !
    Mais comme vous le dites si bien c’est avoir confiance en soi et apprécier chaque jour de ce que la vie nous apporte.
    On se souviendra d’un moment de notre vie où nous nous sommes senti confiant, victorieux, tout en prenant soin de recréer dans notre esprit, des images, des sons des émotions des sensations liés à ce sentiment de confiance et de victoire.
    Et pour ça je vous admire et vos fils doivent vraiment être fiers de vous
    Encore Bravo ….
    Toujours heureuse de vous lire…

    1. Bonjour Marie et merci pour ce joli commentaire riche en expérience semble-t-il.
      Confiance et victoire seront les deux mots « clefs » que je garderai pour compléter cet article qui n’est pas encore terminé 🙂
      Heureux que cela vous plaise, à bientôt…

  2. Bel article, qui fait réfléchir.
    On a des acquis, on a des envies mais il y a aussi nos peurs qui nous retiennent, à chaque pas, on doit les surmonter car si elles nous envahissent on se laisse tirer vers le fond.
    Un coach pour aider à les passer à nous guider pour aller sur le bon chemin, à clarifier des envies en réalités.
    Je souhaite à ces personnes que tu as guidé, une réussite quelque soit leur expérience.

    1. Merci Marie pour ce commentaire, en effet nos peurs ne doivent jamais nous attirer vers le fond (ou alors dans mon cas pour me permettre d’aller plus loin en apnée 😉 )

      Le coach peut être considéré comme un guide pour un aboutissement des projets à réaliser.

      à bientôt…

  3. Très beau commentaire qui donne beaucoup d’idées sur la façon d’aborder les demandes à faire au niveau d’un coaching éventuel, j’ai hâte de lire la suite… Merci

    1. Bonsoir Patrick, la suite va arriver, mes récents projets à l’étranger, ne font que confirmer le début de cet article.

      Les détails arriveront avant la fin du mois d’août, c’est promis 🙂

  4. Je pense que nous ne sommes jamais seules. Oui, nous sommes responsables de notre vie…
    A chacun de nous d’en décider, d’aller vers les autres, d’alimenter les amitiés, de donner sans attendre en retour, de vivre pleinement ici et maintenant…
    Et grâce à notre propre enthousiasme, profitons de tout ce qui nous est donné: amis, parents, enfants, coucher de soleil, pluie rafraichissante, nuit étoilée, tempête de neige, …et remercions d’être vivant.
    C’est vous et vous seul qui faites votre vie !
    Tout ça pour dire que vous n’êtes jamais seul, vous avez vos lectrices et vos lecteurs 🙂

    A bientôt pour vous lire

    Marie

    1. Bonjour Marie F,

      Et merci pour votre visite, c’est agréable de vous lire, vous soulignez les points essentiels qui nous rappellent qu’il est bon de vivre et de partager.

      Je suis ravi que mes textes vous plaisent, j’avoue manquer un peu de temps pour publier les suivants qui attendent patiemment bien au frais !

      J’ai d’ailleurs hâte de publier mon prochain article sur mon approche de l’apnée « L’aisance dans la performance » qui donnera lieu à la publication également d’une vidéo inédite en la matière qui associe deux de mes passions principales, l’apnée et les arts-martiaux, à suivre… 🙂

      Prenez soin de vous et à bientôt…

  5. « Les gens souvent consacrent du temps à juger les autres, à se comparer aux autres, à jalouser comme à vénérer, le tout dans l’excès ! Alors que la solution reste à mon avis l’analyse juste de ce que l’on souhaite faire de son temps, de son espace, de sa vie. »

    Plus que tout David, j’adhère totalement, si tout le monde se comportait comme toi, la vie serait beaucoup plus simple ! Il y a celui qui n’est jamais satisfait, celui qui change avec le temps et celui qui est toujours égal à lui-même, tu en fais partie ! Ne change jamais, sincèrement merci…

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